Dans la nature la fin justifie les moyens, point d’empathie. La loi du plus fort dicte tout.
La nature s’équilibre d’elle-même, mais toujours par excès, le fort triomphe et le faible disparaît.
Le loup, quand il attaque un troupeau de brebis, ne se concentre pas sur une seule bête. Les brebis éventrées seront mises à mort par les bergers et ne devront pas agoniser pendant plusieurs jours, ce qui serait le cas sans l’intervention de l’homme. Voir aussi la vidéo RTS.
Le grand corbeau, mais aussi la corneille noire, quand ils attaquent un agneau ou un faon, crèvent d’abord les yeux, puis le festin commence par l’anus, la victime étant toujours vivante.
Le chat domestique chasse pour jouer. Il garde sa victime le plus longtemps possible en vie et quand il s’en désintéresse, elle est toujours blessée à mort et agonisera jusqu’à ce que l’infection l’emporte.
La pullulation chez certaines espèces provoque des maladies tout aussi cruelles, comme la rage ou la gale chez le renard.
Suite à l’action de certains milieux, la chasse du renard fut restreinte (particulièrement la chasse au terrier) dans le canton de Berne. Comme à Genève en 1996, la gale explosa.
Les pseudo-défenseurs de la nature peuvent dormir tranquille, personne ne voit ni ne sent l’extrême puanteur de leur lente agonie.
Les renards du Jura bernois ci-dessous ont eu de la chance, il n’ont pas eu à subir une longue agonie au fond de leur terrier.
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